Le ton du film est établi par le premier carton : « Un film avec un sourire… et peut être aussi, une larme », tandis qu’un autre carton annonce l’histoire : « La femme dont le péché est d’être mère. »
La femme sort d’un dispensaire, un nourrisson entre les bras. Une courte scène nous montre le père de l’enfant, un jeune artiste qui fait négligemment tomber une photo de la femme dans le feu. La mère abandonne son enfant dans une voiture luxueuse, accompagné d’un mot demandant à la personne qui le trouvera de prendre soin du bébé. Mais la voiture est volée par deux brigands qui déposent le bébé à côté des poubelles dans une petite ruelle.
C’est là que Charlot le trouve, après plusieurs tentatives infructueuses pour se débarrasser de cette nouvelle responsabilité non désirée, il l’emmène dans sa mansarde et se fabrique ingénieusement tout le matériel nécessaire pour pouponner…
POUR SAVOIR LA SUITE, VENEZ NOUS REJOINDRE EN NOMBRE